« Beau flambeau d’Aphrodite, ardent Vesper, concède À mon amour, ce soir, ta brillante clarté ! Je m’engage dans un chemin infréquenté Pour rejoindre un ami dans sa hutte au toit bas La lune en ce moment ne nous éclaire pas Je ne vais pas, brigand, cherchant l’obscurité, Prendre au passant sa vie ou le peu qu’il possède. Mais j’aime… Et les amants méritent qu’on les aide. » Bion. III av. J.C.