Au bois…

Comment dire que c’est, sur Terre, l’endroit que je préfère… sous-bois. Arpenter sans cesse les pistes, les chemins, les sentiers, le sol, découvrir les habitants passagers et ceux, sédentaires, qui siègent et triomphent par l’ampleur de leur taille et la puissance de leur présence.

C’est un monde fermé mais sans mur, un monde à part sans frontière sinon l’ombre qui nimbe comme une eau et qui signale la limite à franchir.

Sous-bois, clos d’ombre, à la source de la lumière.

Les rencontres y sont toutes émouvantes; la frontière de nos perceptions est l’ultime limite, la source de l’imagination.

La source de notre histoire. Le creuset de l’âme humaine. … »Au bois de mon cœur, il y a des petites fleurs, des petites fleurs, il y a des copains, au bois de mon cœur… »

Montagne de Bergiès , dimanche 21 juin 2020. Georges Brassens, Au bois de mon cœur.

Une réflexion sur « Au bois… »

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