Let me bring you songs from the wood :
to make you feel much better than you could know.
Dust you down from tip to toe.
Show you how the garden grows.
Hold you steady as you go.
Join the chorus if you can:
it’ll make of you an honest man.
Let me bring you love from the field:
poppies red and roses filled with summer rain.
To heal the wound and still the pain
that threatens again and again
as you drag down every lover’s lane.
Life’s long celebration’s here.
I’ll toast you all in penny cheer.
Let me bring you all things refined:
galliards and lute songs served in chilling ale.
Greetings well met fellow, hail!
I am the wind to fill your sail.
I am the cross to take your nail:
A singer of these ageless times.
With kitchen prose and gutter rhymes.
Songs from the wood make you feel much better.

I.A. Songs from the wood. 

sur mon chemin, 5-02-19

Le neuf et beau musée de Nemausus

Regardons de plus près vers les visages antiques maintenant….

Voilà, pour cette visite… et ce qui m’a semblé remarquable. Je n’ai pas mis les photos des objets romans que j’ai prises (une beauté inimaginable après l’austérité romaine), ni celles des taureaux (que Picasso a vu, j’en met ma main au feu), ni encore celles d’un relief en marbre orné de rinceaux d’acanthes peuplés d’oiseaux…. Ce sera pour un autre sujet ! 🙂

NON

A tous ceux qui me demandent si je regrette d’avoir quitté FB pour Instagram et ce blog, je réponds ceci :

Non, je ne regrette pas ! Je retrouve une façon de réfléchir plus … paisible : il y a moins de bruit, ce bruit de FB, silencieux, qui finit par remplir la tête de toutes ces voix qu’on n’entendra jamais et qui pompe les ressources…

Non, je ne regrette pas de ne plus être reliée directement au ministère de l’Intérieur ni celui des Finances…

Non, je ne regrette pas l’artificiel, le prêt à poster, le formatage formel et l’insinueux informel de FB qui finissait par me rendre inquiète, angoissée parce que je sentais bien que j’étais au milieu de ce qui m’insupporte le plus au monde, surveillance, mensonge et manipulation.

Mais, certaines publications me manquent et je pense souvent à quelques personnes que je ne peux plus saluer. Comme c’est bête tout ça.

Flaque d’eau sur mon chemin 21-12-18