C’est sûr Sandrine … mais c’est comme pour tout : enlève les fleurs d’un tableau, les éclats du soleil ou ceux de la lune, l’ombre des nuages sur les reliefs , l’art, la musique , la poésie , la littérature, la peinture : rien de tout cela ne contribue à bien dormir… mais sans, ne serait-ce pas pire ? Je t’embrasse très fort 🙂
« What Power art thou, who from below
Hast made me rise unwillingly and slow
From beds of everlasting snow?
See’st thou not how stiff and wondrous old
Far unfit to bear the bitter cold,
I can scarcely move or draw my breath?
Let me, let me, let me freeze again to death »
« Quelle puissance es-tu, toi qui, du tréfonds,
M’as fait lever à regret et lentement
Du lit des neiges éternelles ?
Ne vois-tu pas combien, raidi par les ans,
Trop engourdi pour supporter le froid mordant,
Je puis à peine bouger ou exhaler mon haleine ?
Laisse-moi être transi, laisse-moi mourir à nouveau
de froid ! »
Henry Purcell – Le Roi Arthur.
C’est tellement beau, mais ça ne suffit pas toujours à faire de belles nuits.
C’est sûr Sandrine … mais c’est comme pour tout : enlève les fleurs d’un tableau, les éclats du soleil ou ceux de la lune, l’ombre des nuages sur les reliefs , l’art, la musique , la poésie , la littérature, la peinture : rien de tout cela ne contribue à bien dormir… mais sans, ne serait-ce pas pire ? Je t’embrasse très fort 🙂
Sirène-itude…
Hiver.. restons cachés.
« What Power art thou, who from below
Hast made me rise unwillingly and slow
From beds of everlasting snow?
See’st thou not how stiff and wondrous old
Far unfit to bear the bitter cold,
I can scarcely move or draw my breath?
Let me, let me, let me freeze again to death »
« Quelle puissance es-tu, toi qui, du tréfonds,
M’as fait lever à regret et lentement
Du lit des neiges éternelles ?
Ne vois-tu pas combien, raidi par les ans,
Trop engourdi pour supporter le froid mordant,
Je puis à peine bouger ou exhaler mon haleine ?
Laisse-moi être transi, laisse-moi mourir à nouveau
de froid ! »
Henry Purcell – Le Roi Arthur.