L’hiver est pour le cultivateur la saison paresseuse. Pendant les froids, les laboureurs jouissent ordinairement de ce qu’ils ont acquis et se donnent entre eux tour à tour de joyeux festins. L’hiver, époque de frairies, les régale et dissipe leurs soucis ; ainsi, quand les carènes chargées à couler ont enfin touché le port, les matelots joyeux mettent aux poupes des couronnes.

Virgile – Géorgiques, I 299-304 // cap Couronne, 10-02-19.

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